1482 : Le Navigateur Portugais Diego CAO quitte le Portugal pour se rendre aux Indes. En suivant les Cotes d’Afrique au cours de son voyage, il découvre par hasard l’embouchure du fleuve KONGO, il regagne le Portugal ou il informe son Roi de la découverte fait. Le Roi du Portugal il lui demande de repartir immédiatement sur les lieux, afin d’explorer les Régions environnantes et apprécier son potentiel.
1484 : Diego CAO revient à l’embouchure du fleuve KONGO, il remonte le cours d’eau jusqu’au niveau des choutes de Yellala en passant par Matadi. Ce ainsi que il découvre les grand ROYAUME DE KONGO et c’est a Soyo, une des provinces du Royaume, qu’il entre en contact avec les autochtones.
Le ROYAUME DE KONGO fonde probablement vers 1275, avait sa capitale a MBANZA KONGO ou réside le Roi appelée MANI KONGO, qui signifie : le Maître, le Souverain, l’empereur de KONGO.
Le ROYAUME DE KONKO regroupe six provinces : MPemba, NSundi, MPanzu, MBata, MBamba et Soyo.
1490 : Plusieurs Missionnaires Portugais sont envoies dans le Royaume de Kongo par le Roi du Portugal, en vue d’évangéliser la Population locale.
1491 : Le Roi de Kongo NZINGA-NKUWU demande à recevoir le baptême avant même que la première Eglise de Mbanza-Kongo ne soit achevée.
Au cours de la même année, le Portugais établissent des relations commerciales avec les Kongolais en pratiquant le Troc, procède commercial qui consiste à échanger des objets contre autres objets.
Dans la même année, les ANZICOS, tribus Batéké, se révoltent a la frontière Nord-Est du Royaume de Kongo et provoquent une guerre contre le Roi NZINGA-NKUWU baptise sur le nom de Joao 1er, qui triomphe et place le Royaume d’ANZICA sous son autorité, tout comme le Royaume de LOANGO, Etat Vassal du ROYAUME DE KONGO.
1495 : Le Prince Alfonso 1er est inculpe a tort d’avoir séduit la compagne préfère du Roi, le Roi ayant confiance en son fils réussit a déjouer la manœuvre a temps. Mais le Prince doit s’exiler pour plusieurs années dans la Province de NSundi afin de se tenir loin des intrigues de la Cour.